Lutte contre les VBG : un panel pour réfléchir sur des perspectives d’actions

Dans le cadre des 16 jours d’activisme contre la violence sexiste à l’égard des femmes, l’Organisation non gouvernementale, International Rescue comittee (IRC), a organisé un panel le vendredi 9 décembre 2022 à Ouagadougou. Cette rencontre vise à contribution pour l’amélioration du bien-être des femmes et des jeunes filles.

Pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, la société civile a entrepris 16 jours de campagne d’activisme. Et l’ONG International Rescue Comittee (IRC) avec ses partenaires, initie un panel placé sur le thème : «Unité ! Activistisme pour mettre fin à la violence contre les femmes et les jeunes filles».

Une photo de famille des participants

L’objectif principal des échanges est de continuer à l’amélioration du bien-être des femmes et jeunes filles. Cela passe, selon les organisateurs, par une réflexion sur des actions conjointes dans la lutte contre les Violences Basées sur le Genre (VBG). Ainsi, durant une demi-journée, les participants ont échangé à travers trois communications. Il s’agit de «Lutte contre les VBG au Burkina Faso : rôle des ONG et associations», «Activisme communautaire contre les VBG : SASA !», «Ensemble et sur l’état des lieux et perspectives en matière de lutte contre les VBG dans les zones humanitaires au Burkina Faso : AoR VBG». D’entrée de jeu, il est ressorti que les statistiques font état de plus de 70% des femmes qui sont victimes des VBG.

    Blaise Tienin, Directeur Général de l’institution

Blaise Tenin, le directeur général de l’institution qui a représenté la directrice générale du genre a souligné que cette formation vise à partager des expériences à la limite harmoniser les approches. Mieux, a-t-il poursuivi, cela vise à faciliter les donnés en lien avec les VBG. Pour Blaise Tenin, il faut la contribution de tous. «Si on veut faire en sorte que nous puissions avoir cette cohésion sociale tant recherchée», a-t-il confié. Pour lui, le problème qui est plus défendu face à la crise que connaît le pays, c’est les violences. Et de soutenir que ces violences jouent négativement sur la cohésion sociale.

Comme résultats attendus à cette rencontre, il s’agit de permettre à l’ONG IRC à marquer sa présence active dans le lancement de la campagne des 16 jours d’activisme au Burkina Faso.

Salamata NIKIEMA

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