« Ceux qui, par mauvaise volonté ou pour des raisons malsaines, tenteront de faire obstruction au processus, assumeront les conséquences de leurs actes. Ce serait en effet se tromper gravement que de considérer la volonté du MPSR d’inclure tous les acteurs dans le processus en cours, comme une faiblesse. Aucun individu, aussi important soit-il ne peut s’arroger le droit de prendre en otage notre peuple », a lancé Paul Henri DAMIBA, président du Faso.
Il s’engage à gouverner par l’exemple et dans la sobriété.