Le témoin a dit avoir sympathisé avec Jean-Pierre Palm après avoir donné une formation à une connaissance de ce dernier.
Un jour, autour d’un verre, ce Jean-Pierre Palm lui fit deux confidences.
Premièrement, il admit que « le coup avait échoué » parce qu’ils n’avaient pas pu arrêter le frère du témoin, Toé Fidèle, ministre de la fonction publique au moment des faits qui était en fuite au Ghana. Selon les dires du colonel, ils devaient le faire avouer qu’il avait un coup qui se préparait à 20H, » il m’a dit que mon frère était un veinard. »
La deuxième chose qu’il lui a dit est qu’il y avait deux commandos. Un dirigé par Hyacinthe Kafando et l’autre, par Jean-Pierre qui devait agir au cas où le premier aurait échoué dans sa mission.
(Image archive)
Avec Watfm