« Le Burkina Faso ne saurait poursuivre sa coopération avec une institution qui ne répond plus à ses attentes légitimes en termes de justice, d’égalité et d’équité », note Ouagadougou, pointant la suspension des pays de l’AES, alors que l’organisation est restée aphone devant d’autres pays ayant connu des changements similaires de pouvoir.
Agence d’information du Burkina
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